Spéculations leadershipales.
Je reviens, en force je l'espère, de l'exil forcé du dernier mois. Après avoir passé le mois de février pleurant, genoux entre mes bras, sur la toute dernière trahison dont je fus victime (Stephen, je te croyais VRAIMENT quand tu parlais d'éthique), je vis de nouveau. Hop. Pleine forme. Ou presque. C'est pas comme si l'après-campagne m'avait coûté et relations humaines, et la capacité de dormir. En fait oui, mais peu importe.
Et je constate à quel point la course au leadership du Parti Libéral du Canada semble laisser perplexes ou cois tant d'observateurs francophones, alors que sur la communauté webienne anglophone, ça fourmille et pullule de partout. Réveillez-vous, collègues francophiles, une course à la chefferie c'est excitant (exception faite de celles du PQ. Tout ce qui est le fun semble se transformer en ennnui mortel dès qu'il approche de près ou de loin du Parti Québécois. Exemple : André Boisclair.).
Donc, pendant les médias francophones s'émoustillent pour Belinda, Brison, ou Ignatieff, on semble passer sous silence une candidature qui crée un buzz considérable au Canada anglais : Gerard Kennedy. Le type a été décrit par certains blogueurs comme le pire cauchemar de Jack Layton : jeune, urbain, avec des bases partout au pays, et surtout, très progressiste. Dans une course ou les frontrunners sont deux anciens candidats à la chefferie des conservateurs, et un intellectuel arrivé au pays il y a trois mois et appuyant la guerre en Irak, Kennedy pourrait bien faire des ravages en ratissant toute l'aile gauche du Parti Libéral. Car, à tort ou à raison, une immense quantité de libéraux se considèrent encore comme les gardiens de la tradition progressiste, particulièrement du côté anglophone.
Bref, surveillez Gerard Kennedy.
Et je constate à quel point la course au leadership du Parti Libéral du Canada semble laisser perplexes ou cois tant d'observateurs francophones, alors que sur la communauté webienne anglophone, ça fourmille et pullule de partout. Réveillez-vous, collègues francophiles, une course à la chefferie c'est excitant (exception faite de celles du PQ. Tout ce qui est le fun semble se transformer en ennnui mortel dès qu'il approche de près ou de loin du Parti Québécois. Exemple : André Boisclair.).
Donc, pendant les médias francophones s'émoustillent pour Belinda, Brison, ou Ignatieff, on semble passer sous silence une candidature qui crée un buzz considérable au Canada anglais : Gerard Kennedy. Le type a été décrit par certains blogueurs comme le pire cauchemar de Jack Layton : jeune, urbain, avec des bases partout au pays, et surtout, très progressiste. Dans une course ou les frontrunners sont deux anciens candidats à la chefferie des conservateurs, et un intellectuel arrivé au pays il y a trois mois et appuyant la guerre en Irak, Kennedy pourrait bien faire des ravages en ratissant toute l'aile gauche du Parti Libéral. Car, à tort ou à raison, une immense quantité de libéraux se considèrent encore comme les gardiens de la tradition progressiste, particulièrement du côté anglophone.
Bref, surveillez Gerard Kennedy.